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Biographie

  • Date de naissance

    3 Novembre 1977 (âge 46)

  • Lieu de naissance

    Oakdale, Suffolk County, New York, États-Unis

On ne m’a jamais percue autrement que comme Jane « la chanteuse » explique Jane Monheit, à peine 22 ans, à l’occasion de la sortie de son premier album « Never Never Land ». Ce projet a été attendu avec impatience par l’industrie musicale au complet depuis la remise du « first runner-up prize » de la Thelenious Monk Institute Vocal Competition en 1998 à une Miss Monheit alors dans sa vingtième année. Le permier prix revint à Teri Thornon, qui exercait déjà son talent bien avant la naissance de Jane. Pour les personnes qui assistèrent à la compétition, il fut évident que Jane serait le nouveau talent qui régnerait sur la scène Jazz. Tout le monde peut maintenant apprécier ce que le prestigieux jury (Dee Dee Bridgewater, Nenna Freelon, Diana Krall, Dianne Reeves et Joe Williams) eut la chance de savourer lors de cette soirée : Jane Monheit servant quelque chose de naturel, suave, rythmé et rafraîchissant à la table du jazz.

En réalité, le chant a fait partie intégrale de la vie de Jane dès ses plus tendres années passées à Oakdale, Long Island. Née en Novembre 1977, elle n’avait que 2 ans lorsqu’elle commenca à chantonner « Somewhere Over the Rainbow » et « Honeysuckle Rose ». Sa tante et sa grand-mère étaient chanteuses professionnelles et toute la famille avait pour loisir le chant ou un instrument de musique. La musique fut donc très présente dans l’environnement de Jane. Elle eut également la chance d’étudier aussi bien au primaire qu’au secondaire dans des établissements dont le département musical était très développé. Le jazz, le bluegrass et le folk devinrent ses genres musicaux favoris. Elle étudia la clarinette et le solfège, et c’est du jazz qu’elle fut éprise :« chanter était tout simplement beau, c’était mon truc ».

« Mon influence majeure fut Ella (Fitzgerald, bien sûr) » explique-t-elle. « Personne n’a su s’en approcher ». La jeune chanteuse se concentra également sur les autres grandes divas du jazz telles que Sarah Vaughan et Carmen McRae. Parallèlement, certains vocalistes contemporains ( Joni Mitchell, Take Six, New York Voices) qu’elle appréciait particulièrement ont aussi fait partie de ses modèles.

Jane se produisit aussi souvent que possible à Long Island durant sa scolarité. Sa formation chant commenca à 17 ans, lorsqu’elle entra à la très réputée Manhattan School of Music de New York, et où elle étudia avec Peter Elridge, l’un des membres fondateurs du célèbre groupe vocal les New York Voices.

Comme tout étudiant en musique, Jane se produisit sur New York aussi souvent que possible. Mais sa prestation la plus importante eut lieu lorsque Elridge lui suggéra de participer à la Thelenious Monk Institute’s Vocal Competition. Jane se souvient : « Je ne connaissait absolument pas ce concours, jusqu’à ce que Peter m’encourage à y participer. J’étais loin de penser que cela pourrait être déterminant pour le lancement de ma carrière. C’était vraiment génial d’être entourée d’un grand nombre de chanteurs professionnels, c’était tout à fait nouveau pour moi. Et pour la première fois, je n’ai pas eu peur avant de chanter sur scène et j’ai senti monter en moi un sentiment de profonde détermination. J’ai réalisé l’ampleur de l’événement quand Wayne Shorter est entré dans la salle avant la demi-finale… ! »

Le lendemain soir, lors de la finale, un grand nombre d’agents, de managers, de journalistes, de promoteurs de grande renommée étaient présents aux côtés de Wayne Shorter, d’autres grands musiciens et d’un public nombreux et enthousiaste. Et tous eurent le privilège d’assister à une superbe prestation de la part de Jane Monheit. Le monde du jazz au complet se mit alors a parler de la nouvelle voix et du nouveau visage : « the new girl in town. »

Le résultat en est « Never Never Land », un enregistrement qui présente Jane en compagnie de six musiciens extraordinaires : Kenny Barron, Ron Carter, Lewis Nash, Bucky Pizzarelli, Hank Crawford et David « Fathead » Newman. « I know a place where dreams are born… » ( il est un lieu où des rêves sont nés) est le premier titre de cet album, qui exprime parfaitement et de manière poétique le conte de fée que Jane a pu vivre cette année.

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